Les Larmes du Dragon Le Grand Grimoire de la Guilde |
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| atrof' | |
| | Auteur | Message |
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atrof'
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/06/2007
| Sujet: atrof' Sam 2 Juin - 6:59 | |
| Bonjours à tous et toutes
je ne sais réellement se qui m'as amené à vous, sans doute l'affiche de la place; surpris, intriguer, puis enchanter me voilà devant vous.
j'ai hésité avant de me lancer, ma pudeur et ma peur de déranger me font très souvent perdre de magnifiques opportunités, toute fois après avoir parcourut les lieus de votre temple qui me sont accessible, j'ai cru percevoir un certain intérêt pour les longues, très longues histoires.
Très souvent je ne fais que résumer se que je suis... se que je fus
baisse le regard au sol
Il y a de sa maintenant quelques mois, années..., peu importe le temps c'était une autre époque; je vivait paisiblement au coté de ma défunte épouse, Nïrlaine, et de mes deux enfants, Argone et Saflia, une maison des plus simple que le roi nous laissait habiter;
quel étourdit je fait, j'ai totalement oublié de vous préciser que je ne suis pas d'Amakna, je viens d'un continent assez lointain du votre, au delà de l'île des minotorors, à sept cent soixante krana .... sept milles kilomètre me semble t il, j'ai encore quelque difficulté à convertir veuillez m'en excuser. c'est un magnifique continent que l'on appelle Arsule (se dit ar[z]ule), des forets tropicales à perte de vue emplie de fruit sucré et d'odeur de millier de fleurs qui se mélange dans une harmonie digne du nirvaña lui même, les deux fleuves qui traversent cette foret crépite, dans une douce mélodie, contre les pierres d'un blanc pure; à quelques endroit, de petites calanques formant des marres naturel à l'eau turquoise laissant voir la faune de poisson multicolore jouer entre les jambes des bambins qui s'y baignent, les doux rires enfantins se mêlent au chant des oiseaux, jusqu'à se déverser dans l'immense plaine Drune qui dissimules, dans ses hautes herbes, les jeunes couples d'amoureux leurs laissant toutes l'intimité dont ils ont besoin.
Sourie, les yeux brillant de souvenir heureux, une larme germe au coin de son oeil droit
Plus loin, après les quelque merisiers parsemés sur la plaine, de grand mur fait des pierres recueillit dans les deux fleuves, avec seulement deux énormes ouvertures sertit en leur bâtit de plaque d'or de trois centimètre d'épaisseur, l'une pour entré dans la citée, l'autre pour en sortir. Une immense avenue pavé de galet noir vous emmène alors jusqu'au cartier des commerçants où tout les corps de métier y sont représentés, du simple fabriquant de cadre au plus talentueux des brodeurs, puis l'avenue se sépare en « Y »; La branche de gauche vous accompagne jusqu'au quartier résidentiel ou toute les maison semble identique et ou toute la population y est loger gratuitement par notre roi, la branche de droite, elle, nous amène vers le palais s'écrasant sur une lourde porte de brussy (le bois des arbres les plus vieux du continent, la légende raconte que la porte fut découpé d'un bloc dans le tronc de l'arbre) orné d'une cinquantaine de boutons d'argent de la taille d'une paume de main, derrière cette porte, un corridor de douze colonnes de marbre pourpre, entre ses colonnes de lourde tentures représentent l'histoire de notre passé torturé par les multiple guerres , pour que l'on oublie jamais la folie passé de nos ancêtres.
De part et d'autre du corridor deux long escalier nappé de velours bleu se rejoignent en une mezzanine, sur laquelle loge une autre porte de brussy à taille d'homme, s'ouvrant en grand sur la salle du trône; chose qui pourrait vous paraître curieuse , le sol de la salle du trône est fait d'un bois de pin traupé , le bois le plus commun et bon marché, aucune décoration et deux petite marche en estrade surélève le trône fait du même bois que le plancher; notre roi y tien conférence trois heures minimum par jour pour recevoir ses sujets sans distinction de classe et comme seul ordre celui de leurs arriver devant la porte. Notre roi est jeune, plus jeune que moi, il est restait au coté de son père pendant dix ans prenant leçons, écoutant et retenant.....
mais je m'égare, pardonnez moi reprenons mon histoire, je ne voudrais pas vous faire perdre trop de temps pour ma simple personne.
Donc je vivais paisiblement avec mon épouse et nos deux enfants, mon travail : conteur. Étant quelqu'un de très bavard j'y étais prédisposé sourie
Chez nous l'argent ne fais pas loi, nous avons instauré une monnaie à des fins commercial avec les continents proche, mais entre nous c'est le troc qui fonctionnais. Ma femme était une admirable pianiste qui enchanté dès qu'elle posé ses magnifiques doigts sur les touches, ses mélodies pouvaient calmer les plus bagarreurs des ivrognes.
Nos enfants allaient à l'école toute proche du cartier résidentiel, tous se passait à merveille jusqu'à se qu'elle tombe malade,... la maladie l'a emportée..... mon âme avec.
Je n'ai pas supporté son décès et se sont ses parents qui ont pris les enfants chez eux, j'ai commencé à boire jusqu'à absorber des doses que deux hommes ne supporterais pas, me réveillant parfois dans la taverne, parfois dans la rue ou encore pire aux latrines, Je ne mangeais plus et ne dormais que par l'abus d'alcool, j'errais dans la citée, la plaine, la foret. Mais rien n'y faisait, je n'arrivais pas à vivre sans elle, j'avais perdu plus que ma moitié , j'avais perdu mon âme , je m'étais perdu .... perdu dans l'alcool ... perdu dans la folie .... dans la tristesse.
Plus tard, probablement dans un délire éthylique, j'embarquais sur un navire, je fut entraîné dans des délits plus grave les uns que les autres, c'est sur se navire que je me fit appelé « Atrof-fier », je ne pourrais guère vous expliquer l'origine de se nom, un autre délire éthylique à croire.
Au détour d'une cavale parmi tant d'autre j'ai quitté le navire pour échoué à Amakna, j'ai repris pied et raison ici .
Et je tente au mieux de me refaire une nouvelle vie, même si au fond de moi mon âme est morte
Essuie ses yeux fixé sur le sol avec le dos de sa main n'osant lever la tète pour garder le peu de fierté qu'il lui restait
Mon vrai nom ? Opus Odi'um mais il n'existe plus , il est mort....
Atrof'
hrp: mon nom IG est atrof-fier | |
| | | Feydina-Xyphias
Nombre de messages : 137 Date d'inscription : 18/04/2007
| Sujet: Re: atrof' Sam 2 Juin - 8:38 | |
| Je regardais l'horloge du Château, par la fenêtre
- "Sept heure passée...", à moi-même :"La nuit fut longue, les mines pleines et le labeur... ma foi rentable, au moins de quoi satisfaire mon appétit de sram (autrement dit très rentable)",'' héhé"
Je me dirige vers la porte de la guilde pour la fermer et enfin laisser les clefs derrière le pot de fleur caché ---Censuré---, mais un détail attire mon regard.
Là, devant moi, sur un parchemin de bonne facture et d'une écriture soignée se trouvait une des plus belles candidatures que notre grimoire avait reçut. Il me fallut un moment pour m'en rendre compte, car la fatigue, telle une maitresse lascive, me murmurai à l'oreille les mérites de la lecture en diagonale. Mais prenant sur moi, je parvins à faire honneur à l'effort du candidat matinal (ou couche tard comme moi cette nuit là) et j'en arrivais même à prendre ma plume dans un effort sursramque (que l'on sait enclin à la facilité... ce dont je ne me cache pas). Cette plume ne tourna pas longtemps en l'air avant de prendre son envol sur le papier, inspirée par le texte que je venais de lire :
"Bonjour l'ami, je serai bref : ZzzzZzzzzz mais surtout ....ZzzzzzzZzzz ainsi donc zzZzzzZzzz ... pour en savoir plus ZzzzZZzzzZzzz."
En effet, vous l'aurez deviné il était vraiment trop tard pour que j'arrive à m'exprimer convenablement. Je n'ai donc pas pu dire merci à notre nouveau postulant, le féliciter pour son courage, mais aussi son talent qui laisse présager de bien belles soirées en sa compagnie (et pourtant j'adore les soirées.... un peu arrosées bien sur). Je n'ai pas pu lui dire que sous ma protection personnelle je serai prête le faire enrôler rapidement (comme si cela allait être nécessaire, mais que voulez vous je suis protectrice). Mais enfin je n'ai pas pu lui dire mon "Mais" (cela dit, il apprendra bien assez tôt à le connaitre le pauvre) qui une fois n'est pas coutume était de taille : sa candidature ne faisait pas référence à sa motivation de nous rejoindre "nous",ni si nos préceptes lui convenaient, et ce qu'il se proposait de nous apporter.
Je décidais donc, de part la force de caractère qui me caractérise, de m'affaler sur place plutôt que de rejoindre ma couche comme la paresse (ma seconde maitresse à cette heure) m'y invitait. Non mais ! Je remettais donc au lendemain ma réponse à cette candidature, un peu honteuse de ma lâcheté (dans un éclair de lucidité entre le moment ou mes yeux se fermèrent et celui ou ma tête heurta la table, m'assommant du même coup). | |
| | | Fantôme de Malicya Admin
Nombre de messages : 127 Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Re: atrof' Sam 2 Juin - 13:24 | |
| Quelle ne fut pas ma surprise lorsque pénétrant dans mon bureau je trouvais ce midi déposée sur ma petite table de travail en chêne ta candidature jeune aventurier. Tu l'as dit nous aimons les longues histoires et l'idée d'accueillir un conteur parmi nouis me réjouit. D'autant que je n'ai eu guère de temps dernièrement pour prendre moi même ma plume et conter quelques uns des moments de mon humble existence.
Toutefois même si tu nous as accordé ta confiance en nous racontant ton histoire, ce dont je suis très touchée, ton récit ommet quelques détails dont ton cercle (ce qui est loin d'être important à mes yeux) mais surtout comme l'a précisé ma chère Fey ce que tu recherches auprès de nous. D'après l'aisance de ta plume et les mots que tu as choisi je pense fortement que ton âme est noble et que nous aurions grand plaisir à t'accueillir parmi nous. Il est cependant important de savoir si tu recherches la même chose que nous: à savoir défendre la cause du dragon et nos compagnons. Nous avons à coeur de répandre le bien autour de nous et de toujours nous soutenir, nous entraider.
Je finirais ce parchemin en te disant à quel point je suis attristée par la perte de l'être qui t'était si cher. Sache que si tu décides de nous rejoindre tu gagneras de nombreux amis qui te seront autant d'épaules sur lesquelles tu pourras déposer un peu de ta peine.
En espérant te lire très prochainement, j'adresse mes prières à la deesse Eniripsa, qu'elle te protège et si elle le peut qu'elle apaise un peu par ses mots ta douleur. | |
| | | atrof'
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/06/2007
| Sujet: Re: atrof' Sam 2 Juin - 23:13 | |
| *Je revenais après une nuit (jour) de sommeil, si l'on peut dire ainsi, il est vrai que ne dort plus depuis quelques temps maintenant.*
*Je revenais, car je savais que ma lettre intriguerait et cela était justement le but, une confiance ne se donne pas sur une simple lettre.*
*Il me fallait maintenant en venir aux raisons de ma présence, aux raisons qui m'ont fait venir.* *Les présentations étant faite, je pouvais maintenant parler de choses plus concrète et plus présente*
Bonjour,
Ma précédente lettre n'était qu'une mise en relation en quelque sorte, dans un esprit de transparence. Je me devais de vous conter mon passé, l'honnêteté est, peut-être, la dernière de mes vertus. J'ai parcouru les terres d'Amakna et j'ai rencontré toute sorte de dialecte, certain infâme d'autre étourdissant, même si au fond de moi je ne juge pas les coutumes linguistique des autres, il serait mal venu de juger connaissant mon passé loin de toutes blancheurs, je ne prends plaisir qu'au contact de belle parole dans la bouche d'esprit libre voilà donc pourquoi je suis ici devant vous.
Je ne vais surement pas vous conter de belle histoire sur une hypothétique rencontre avec un dragon, toute légende soit-il, car il n'en est rien. Mais votre cause et votre but me touche, et si mon pauvre corps de sacrieur-placeur peut être sacrifié à cette cause, j'aurais racheté une partie de mes péchés. Les seules choses que je peux réellement vous apporter ne sont que mon corps et mes mots ; Je serais ravis de vous faire rêver par les quelques légendes que je connais. Comme je le faisais par le passé autour d'un feu de bois entourais de joie et d'attention, je contais pendant de longues heures des histoires de tout monde, dont certaine inventés de toute pièce il est vrai. Tout art à ses secrets, celui de conteur a l'improvisation comme l'un d'eux. Le rêve se crée lorsque l'imaginaire, la légende et l'histoire se rencontre. Malgré tout, il est vrai que parfois je me perds parmi tout le dialecte qui font d'Amakna ce qu'elle est, malgré mon attention, il m'arrive de mélanger certain dialecte, sauf peut-être l'un d'eux dont je n'ai toujours pas saisi l'essence, je ne parle absolument pas l'astrubien. Il y a également se......... cercle de... puissance, je crois que c'est ainsi que vous le nommez ; dont je viens de dépasser le sixième grand cercle. Je pourrais également vous citer les tâches que j'effectue de façon très aléatoire tel que paysan, boulanger, mineur, bucheron, alchimiste, sculpteur d'arc, cordonnier. Quoi qu'en faite les métiers d'alchimiste et de cordonnier ne sont pas exercés par moi-même. Une jeune eniripsa m'as pris sous ses ailes depuis mon plus jeune âge, elle n'est pas très bavarde et plutôt timide ; n'hésitant pas à sacrifier un peu de sa vie pour nous permettre, à mes alliés et moi, de poursuivre le combat. Elle est toutefois de nature joyeuse et parsème les combats, parfois trop sérieux de petites touches d'humour toujours dans une douceur et un tacte qui en fait son charme.
Je commence à peine à la connaître, mais par respect pour son intégrité, je garderais ses secrets pour moi et j'espère que vous me comprendrez. Pour ma part, je combats plus de façon sérieuse, mais avec une tolérance extrême, peut-être trop parfois, se qui fait de notre duo, une harmonie presque parfaite. Pour finir j'espère que vous pardonnerez cette petite manipulation par l'attrait de texte flou-inachevé, une vieille habitude teigneuse probablement. Mon passé est troublant, mon présent est pire ; mais mon passé doit rester passé et si toutefois je me confie, se ne sera pas avant plusieurs ...... avant que la confiance soit mutuelle, il y a certain secret difficile. Cela peut être parfois gênant j'en conviens. Mais vous me croiserez ce soir sur la place ; sauf événement inattendus. | |
| | | Fantôme de Malicya Admin
Nombre de messages : 127 Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Re: atrof' Mar 5 Juin - 16:48 | |
| Noble sacrieur,
Nous t'avons enfin accueilli parmi nous tout à l'heure.
Je me réjouis par avance à l'idée de lire tes nombreux récits et de combattre à tes côtés. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à me faire signe.
Noblesse et Ardeur ! | |
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| | | | atrof' | |
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