Les Larmes du Dragon
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Les Larmes du Dragon

Le Grand Grimoire de la Guilde
 
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 La rencontre et l'amour :)

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I-Love-You-My-Angel

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MessageSujet: La rencontre et l'amour :)   La rencontre et l'amour :) Icon_minitimeMar 1 Mai - 3:35

[HRP] Ce récit résume comment ma femme et moi, nous nous somment mariés Smile [/HRP]

Ma femme, c'est un peu le contraire de ma personne, mon ange qui me soigne rien que avec des mots. Une peau douce et un corps de rêve. L'esprit simple mais si compliqué si l'on veut la possédé. Je me croyais imcompatible avant que je la rencontre et qu'elle fut mienne. Notre rencontre c'est déroulé de la façon suivante :

Un mardi 25 Flovor, un mardi comme les autres à la plaine des Bouftous, l'air noséabond de la laine de bouftou circulait entre mes bandelettes et venait aggresser mes narines si
délicates. Les marchands s'égosilaient pour dégoter ce qu'il voulait. Le percepteur érait
encore insousciant de ses futures combats et de sa future mort car il était très peu apprécié des combattants présents en ces lieux. Puis soudainement, dans le brouhaha familié de ces contrées, un Iop très chevelu et peu intelligent cria de vive voix :

- Qui pour veut faire partis d'un groupe pour combattre des Bouftous aux alentours de cette région.

Peu de personnes se sont portés volontaire pour ce type de combat. Parmis eux, se trouvaient une Sadidette (Ma femme), un Xelor (Moi), un Feca, un Osadomas, un Iop (Le chevelu peu intelligent) et un Sram. 1 femme pour 5 hommes et c'est sur ma personne que son coeur flencha de tendresse à mon grand bonheur. Après quelques rapides présentations, on pouvait très facilement remarquer que la plupart étaient les enfants cachés de Iop tellement les conversations portaient sur des sujet peu divertissant et très banale. Après quelques rasades de bière d'Amakna que je partagit avec tout les membres du groupe apart le Sram auquel je lui donna des graines de Scorbutes afin qu'il ne continue pas à se mettre invinsible pour me faire peur. Mais comme son corps n'est remplis que d'os et d'aucun système digestif, ma ruse ne marchait pas à mon mécontentement. Après quelques chefs de guerre Bouftous, le groupe se distinguaient en 3 "clans" différent. La Sadidette et le Iop semblaient très bien s'entendre et commençais à envisager un mariage, ils formaient le 1er groupe. Le Feca, l'Osadomas et le Sram effectuais une ruse amusante pour envoyer un bouftou invoqué plus rapidement sur les chefs de guerre, l'Osadomas invoquais le bouftou, le Feca le protégeais avec une de ses armures qui était constitués de boue, de sable et de rochers rassembler en une coque très protectrice, puis le Sram faisait tellement peur au Bouftou qu'il courrait droit sur les chefs de guerre Bouftous. En voyant leur entente cordiale, ils formaient le 2ème clan. Et moi, le seul qui ne parlait pas le Bwork, solitaire mais jovial et généreux avec ceux du groupe, je formais le 3ème clan. Toute l'après-midi se déroulait sous forme de combat diverses, bouftous, querelle entre moi et le Iop qui m'étouffais avec sa chevelure longue et crasseuse. Etant une personne peu intelligente, il choisis la violence pour règler notre querelle. En premier lieu, il choisis de régler ça à mains nues, une énorme erreur sachant que ses testicules sont à une portée aisé de mes mains musclées. Puis tout le monde se mit à se moquer de lui tellement il s'était fait avoir par une personne plus petite que lui. Et sur le coup de la colère, il sortit son épée et trancha un chateigner afin de m'impressioner. Ayant déjà vu le Dark Vlad à l'oeuvre, sa petite démonstration me fit doucement sourire. Il fonça sur moi sans réfléchir et en une fraction de seconde il se retrouva au sol, un marteau près du visage. Ayant compris qu'il avait aucune chance, il s'excusa et demanda aux autres que qu'il s'était passé pendant cette fraction de seconde. Personne ne lui répondit, leurs yeux n'appartiennent pas à Crâ. Je lui répondit :

- C'est simple, quand tu as foncé comme un imbécile, je me suis télépoté derrière toi et je te fais un croc-en-jambe et je sortis mon marteau afin de te calmer. Tout ça rien qu'en une fraction de seconde.

- Commence c'est possible, t'es tout petit et très lent en combat, t'es pas humain ! répondit-il.

-Hahaha, écoute cette phrase du plus intelligent adepte de Xelor qui se nomme Ainstein, "Le temps n'est qu'une valeur que l'on se donne". Je l'ai compris et appliqué malheuresement pour toi.

De nouveau repris par la colère, il sortit une nouvelle fois son épée et frappa n'importe ou et toutes les personnes du groupe s'écartèrent sauf une, la sadidette qui rendait hommage à Sadida en dormant sur le ventre.... Esquivant tout ces coups avec une facilité déconcertante, je passais entre ces jambes et lui faisait de nouveau un croc-en-jambe, il tomba au sol mais son épée sur le corps bronzé de la sadidette, ce qui lui lacérat la totalité de son dos et son épaule gauche, dû à l'énorme taille de l'épée du Iop. La sadidette laissat échapper un cri qui résonnat partout dans la clairière où nous nous trouvons. J'assèna un grand coup de marteau sur la tête du Iop pour avoir bléssé une personne en dehors de son combat et qui était au sol. Je me pressais de sortir une fiole de soin de ma poche, car n'ayant d'Eniripsa, il n'eu que moi et mes talents d'alchimiste qui auraient pus la sauver. Je la retournit sur le dos en voyant son sang qui commençais à s'éparpiller partout sur le sable brulant. Lui donnait une forte claque sur sa joue gauche, tout en ayant les yeux ébahis de mes camarades qui me scrutaient tout mes gestes. La douleur de ma claque était telle qu'elle ovurit la bouche énormement que je lui puisse faire la potion d'une vitesse plus rapide qu'elle n'aurait plus le faire elle même.
Une aura bleutée circulait le long de sa plaie, puis sa plaie se transformé en une légère cicatrice, encore brulante. Après m'avoir fusiller du regard, la sadidette m'insulta de tout les noms car elle ne se souvenais que de la claque. Je la soulevais avec mes petits bras musclées alors qu'elle se débatait et l'emmenais dans ma maison et l'installa à l'étage où se trouvait la chambre à coucher. Elle m'asséna un coup de bâton sur la nuque alors je la calmais en lui disant :

-Ne t'inquiètes pas, je ne suis violent et je ne souhaite que guérir ta bléssure.

Ma voix et mes paroles l'apaisit et et je lui tendis une potion au liquibe verdâtre en lui disant :

-Avales ça, ça apaisera la brulure que provoque ta blessure.

Elle s'empressas d'avaler ce liquide au gout infecte, et la fit accéder à un sommeil très profond. Dans lequel, je pouvais soigner sa blessure plus facilement. A l'aide d'une dague nettoyé par mes soins, je lui ouvris toute sa plaie pour la désinfecter, ne connaissant d'eniripsa j'ai dû me débrouiller seul. De nombreux copeaux de chateigners se logeaient dans son épaule, à l'aide de mes doigts et de mon sang-froid, je pus les retirer sans la réveiller et sans cause plus de dégâts qui n'y avait déjà. Puis je devais m'occuper de soigner la plaie qui occupait son dos, j'enlevis l'attache de lin qui serrait son haut de soie. Puis j'appliquais une poudre d'une couleur fauve sur la totalité de son dos et partis au rez-de-chaussé en attendant que la magie de la poudre opère. Entre les barreaux de l'escalier, mes yeux purent distinguer des petits seins finement dessinés. De grands coups de pieds dans ma porte frappa mon attention, les camarades du groupe sont venus sur le palier de mon chez-moi, pour savoir dans quel état se trouvais leur amie, je leurs est assuré que tout allait très bien et qu'elle sera sur pied ce soir. Après leurs avoir fait mes salutations, je prit une chaise et attendit que la bléssée reprenne conscience. En entendant les marches couinnées, je comprit que cette sadidette se portais mieux. Elle tenait à peine sur ces jambes et abordais un profil bas, puis je l'interpellais :

-Alors la blessure ne te fait plus mal ?
-Non mais je me demande encore si tu n'aurais pas profité de moi pendant que je dormais !
- Du tout ! Je ne suis comme ça, j'ai simplement détaché l'attache de ton haut que je puisse soigner ta blessure.

Subitement, je la vis titubé et commencé à tomber dans l'escalier,je la retenit à l'aide de mes bras et la reportas dans mon lit afin qu'elle puisse se reposer. La nuit commençait à tomber et la bléssée ne reprit toujours pas conscience, n'ayant crainte de la fiabilité du traitement que je lui ai administré, je continue à regarder la lune de mon regard vitreux et neutre.

8 heures du matin, n'observant la lune toute la nuit, je file à l'enclos pour rendre visite à mes tofus et les bouftous que j'èlevaient en l'honneur de mes parents. Je récolta quelques oeufs de tofus, égorgea quelques bouftous afin d'en obtenir les cuisses si fermes et juteuses à l'intérieur de ces dernières. Puis avoir poser ça en vitesse sur la table de la cave, je courut à la taverne pour acheter du Lait-Lait et 2 bières d'Amakna.

Après avoir cuits les cuisses de bouftous et les oeufs de tofus, je sortis un plateau en bois de Charme que je gardais précieusement qui était un cadeau de mon grand-père, Tralin. J'installis tout le nourriture sur le plateau ainsi que le Lait-Lait dans un bol de faïence. Je mit ce modeste repas au pied du lit de ma jolie bléssée, je l'appelle ma jolie bléssée, puisque je la trouvais très belle au fur et à mesure que mes yeux l'admiraient. 10 heures du matin, j'entendis de petits bruits qui provenaient de mon lit et je lui dit :

-Manges, il est important de récuperer ses forces quand on a une blessure comme la tienne.

-Merci de m'être autant occupé de moi. Me répondit-t'elle.

-Ce n'est rien, si tu n'aimes pas le Lait-Lait, j'ai des bières d'Amakna.

-Merci bien, mais je préfère le lait à cette boisson d'ivrogne. Restes retourner face à la fenêtre, je me rhabille.

Tout en restant le gentleman que je suis, j'attendis qu'elle s'habille. Puis à son signal, je m'assis à ses côtés en lui disant :

-J'espere que tu vas mieux car ta blessure n'était vraiment pas simple à soigner, je pene que tu n'as plus besoin de mes services, je te laisse le temps de manger puis je te demanderais de partir de chez moi amoins que tu veuilles rester ici.

Ne prenant le temps d'entamer une autre parole, je file au rez-de-chaussé pour entamer la rédaction d'une lettre.



[HRP]La suite plus tard.[/HRP]
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